PRELUDE

Cela faisait environs 6 mois que j' étais avec ma copine Céline, elle avait 23 ans et moi 26. On entretenait une relation « normale », mais niveau cul c' était pas trop ça, elle n' aimai pas me sucer et on ne pratiquai que la position du missionnaire, quant à la sodomie, la seule fois où j' ai voulu essayer, elle m' a fait la gueule pendant une bonne semaine. Mais elle était mignonne et bien roulée, alors je restais avec elle. En plus ses parents étaient assez aisés, son père avait une boîte de mécanique, elle bossait en tant que secrétaire avec lui et sa mère donnait des cours de piano à domicile. Alors pour moi qui habitais dans une cité, c' était trop beau!

Au cours d' un repas chez ses parents un week-end, ils me proposerent de m' occuper de leur jardin, tailler les haies,tondre la pelouse... Vu que son père, à part son boulot la télé et johnny il ne s' occupait de rien d' autre et sa mère c' était la musique et les fleurs. Ils avaient une femme de ménage qui passait 2-3 fois par semaine, mais le jardin à l' exception de quelques massifs de fleurs, c' était la jungle.

Commeà cette époque j' étais au chômage j' acceptais, surtout qu' ils voulaient me payer pour ça.Je commençai donc le lundi suivant.

Le matin j' arrivais et Catherine, sa mère, m' offrit un café et m' expliqua ce qu' elle voulait que je fasse. Mais en fait je l' écoutais à moitié, car je n' avais pas beaucoup dormi, j' avais passé la soirée chez un pote et je m' étais couché tard, et surtout elle avait un haut avec un beau décolleté qui captait toute mon attention. Catherine était une femme au physique « banal »,elle avait 46 ans ni trop maigre, ni trop grosse, brune, 1,70 m mais une bonne paire de sein et elle savait les mettre en valeur. Elle s'habillait toujours sexy et provocante, plusieurs fois elle m' avait mis mal à l' aise devant sa fille, car elle parlait ouvertement de sexe et moi je suis d' un carractère timide, alors j' avait rougit plusieurs fois et elle me disait que c' était « chou ».

Je pense qu' elle avait remarqué que je n' arrêtais pas de mater ses nichons, mais elle faisait comme si de rien n' était, et continuait dans ses explications.

La matinée je l' ai passé à tailler les haies et à part les 2 fois où elle est venu m' apporter une bière et fumer une clope avec moi je ne l' ai pas vu. Un peu avant midi, elle m' appela pour me dire qu' on allait manger. On prit un apéro, en fait j' allais découvrir plus tard qu' elle aimait bien boire, ce n' était pas une alcolo, enfin je crois, je pense surtout qu' elle s' ennuyait, et pendant que l' on buvait nôtre verre, elle commença à me poser des questions sur mes relations sexuelles avec Céline.

Je ne sais pas si c' était l' alcool ou parce que je rougissais une nouvelle fois; mais je sentais la chaleur sur mes joues. Voyant que je restais bloqué, elle enchaîna, et me dit qu' elle avait déjà posé la question à sa fille, mais qu' elle lui avait répondu que ça ne la regardait pas. Puis elle me dit une phrase qui sur le moment ne m' avait pas marqué: « mais moi je suis curieuse, tu sais! », il faut dire que je n' étais vraiment pas à l' aise, je n' avais qu' une envie c' était de me barré. Quel con quand j' y repense.

Puis on mangea, et elle continua à me parler de sexe, de ses relations avec son mari qui avec le temps se faisait de plus en plus rares, et le vin aidant, on avait vidé une bouteille pendant le repas je me sentais de plus en plus à l' aise et mes yeux étaient à nouveaux attirés par son décolleté.

Elle me proposa d' aller boire le café dans la véranda, elle me demanda d' aller l' attendre là bas.

Dans la véranda, il y avait un canapé, une petite table et 2 fauteuils en osier, et beaucoup de plante. Elle arriva avec 2 verres de Get 27, et me dit que le café était en train de coulé. J' étais assis sur le canapé, elle me donna un verre et alla s' asseoir en face de moi sur l' un des fauteuils. On continuait de discuter, j' avoue que je ne sais pu trop de quoi, car quand elle c' était assise, sa jupe s' était relevé et laissait apparaître le haut de ses bas ( j' ai toujours été attiré par les bas et porte-jarretelle).

Je commençais à être excité, et ma bite se réveillai, et elle le voyait. Alors elle me fit un petit sourrire, et elle écarta ses jambes, je voyait sa culotte noir, puis elle glissa sa main entre ses cuisses et alla d' une cuisse à l' autre en passant par sa chatte.

De mon côte popol était en super forme et commençait à avoir la goutte au nez. Elle se leva et vint s' asseoir à côté de moi. Elle prit ma main et la posa sur son genou,le contact des bas me donna des frissons, je commençais à la carresser et à remonter vers son minou, sa culotte était chaude et humide, je la carressai. Pendant ce temps, elle avait déboutonné ma braguette et elle passa sa main à travers l' ouverture de ma braguette pour saisir ma queue qu' elle branla. Moi j' étai passé en dessous de son slip et avait introduit un doigt entre ses lèvres et alla à la recherche de son clito pour le titiller. Et là la honte je n' ai pas pu me retenir, je lui ai craché dans la main. J' étais dégoûté, mais je n' ai pas eu trop de temps pour y penser, elle sorti sa main de mon caleçon et se lécha la main, puis elle me demanda de me lever, et elle baissa mon pantalon et mon caleçon, je me retrouvais la bite à l' air devant elle, je n' étais plus au garde à vous. Elle me branla de nouveau et puis avec sa langue elle me lécha, ce qui eut pour effet de me redonner la gaule. Alors elle avala mon chibre et progressivement alla de plus en plus vite, puis elle ralentissa la sortie de sa bouche et me goba les couilles, tout en me jetant des regards de salopes. Je la releva à mon tour, lui enleva son haut, elle ne portait pas de soutien gorge et ses 2 obus était maintenant devant moi à ma merci, je lui pris un sein dans la main et la pelota, et je lui léchais l' autre et lui mordillais le téton. Elle baissa sa jupe, et je glissai ma main libre dans sa culotte, et quand je lui introduisit 2 doigt dans sa fente humide elle poussa un petit cri, pourtant mes doigts n' avaient rencontrés aucune résistante, alors je lui en mis un troisième et commença à jouer avec son clito qui était tout dure. Elle reprit mon sexe et le branla et elle me demanda de lui arracher son slip, j' ai du m' y reprendre à plusieurs fois avant qu' il ne cède.

Quand le morceau de tissu avait disparu, elle s' accroupit et me suça tout en se carressant la chatte, elle se doigtait elle me mordillait le gland, et quand je senti que j' allais éjaculer je voulu sortir, mais elle m' a retenu, et j' ai lâcher la purée dans sa bouche et elle continuait à pomper.

On s' allongea sur le canapé, et je lui bouffa la chatte, avec ma langue je m' amusais avec son clito, et je lui carressait l' anus avant de lui enfoncer un doigt, cela dura un petit moment ou je jonglait entre ma bouche, ma langue et mes doigts. Alors elle gémissait de plus en plus fort, et elle jouissa.

Mais ça ne l' a pas calmer, on se mit en position de 69, elle était de plus en plus frénétique, et j' ai cru qu' elle allait vraiment me bouffer la bite. Quand je bandais de nouveau elle se mit en levrette, et la j' approchais mon gland de sa foufoune, et le frottais doucement sur ses lèvres et sur son anus, elle se doigtait d'une main et avec l' autre essayait d' attraper ma verge pour que je la fourre, mais je faisait durer le plaisir. Puis j' entrais en elle, comme dans du beurre, je la limais tout doucement au début, puis de plus en plus vite, alors elle commença à me lacher des va-s-y bourre moi comme une pute, dis moi que je suis une salope, des trucs comme ça, moi ça m' excitais terriblement.

Je lui assenais des coups de reins de plus en plus fort et les seuls sons qui sortaients de sa bouches c' étaients des cris. Quand je senti que ça allait venir, je suis sorti d' elle et j' ai commençè à préparer son cul, elle se carressait, je lui enfonçais un doigt puis deux dans l' anus, elle cambra son cul, et s' offrant à mon pieu elle me dit « surtout quand tu sent que ça va venir, garde le pour ma bouche ».

J' enfonçai mon penis dans son cul et elle lâcha un petit cri de douleur, elle n' eut pas eu longtemps à attendre pour avoir sa ration de sperme, alors je me retira et dirigea mon membre vers sa bouche, mais je n' ai pas eu le temps d' arriver à sa bouche et je lui crachai sur le visage. Elle me prit quand même dans sa bouche et me suça, elle voulait faire repartir la machine, mais là c' était pas possible, elle insista un moment puis arrêta.

Elle se leva, disparu et revint avec la bouteille de Get, elle nous versa 2 verres, 2 grand verres, elle s' approcha de moi prit ma queue et la trempa dans le Get, horrible sensation de brûlure, je la repoussai assez fortement, elle tomba sur le sol mais elle se releva, et me suça, toujours rien à faire.

Puis elle mit ma bite entre ses seins, et elle me branla, je ne voyait même plus ma queue.

Je ne sais pas ce qu' elle était prête à faire pour me faire repartir, mais le téléphone a sonné, et la elle a regardé l' heure et elle est allé répondre . Quand elle est revenu, elle m' a dit de me rhabiller, elle a ramassé ses fringues et est parti prendre une douche.

Je me suis remis au boulot, enfin j' ai essayé. Je n' ai pas revu Catherine avant que son mari et Céline ne rentre, et c' est tout juste si elle m' a dit au revoir quand je suis parti.

Ce qui est sûr c' est que cette expérience, a èté à l' époque la meilleur de ma vie, mais si je lui ai donné le titre de prélude, c' est que ce qui allait arriver par la suite allait définitivement changer ma vie sexuelle.

Je le raconterais dans d' autres récits, prochainement.